Râlons un peu.... pour la planète...

  "Que cette image fasse le tour du monde.
Pendant que les magazines et les chaînes de télévision parlent de la vie des célébrités,
le Chef de la Tribu des "Kaya po" a reçu la pire nouvelle de sa vie : 
Dilma, la présidente du Brésil, a donné son approbation pour la construction d'une énorme centrale hydroélectrique (la 3ème plus grande au monde). 
Le barrage inondera environ 400 000 hectares de forêt. C'est la sentence de mort pour tous les peuples vivant près du fleuve.
Plus de 40 000 Indiens devront trouver de nouveaux endroits où vivre. 
La destruction de l'habitat naturel, la déforestation et la disparition de plusieurs espèces sont des faits !
Nous savons qu'une image vaut mille mots, et montre le véritable prix à payer pour la "qualité de vie" de nos modes de vie dit "modernes"
Il n'y a plus dans notre monde de place pour ceux qui vivent différemment, que tout doit être aplani, que chacun, au nom de la mondialisation, doit perdre son identité, sa façon de vivre.
Je vous en prie si cela vous indigne, transférez ce message et faites-le parvenir à tous ceux que vous connaissez.
Merci pour la vie et la bio diversité



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Qu'est ce que çà vaut la vie de 40 000 indiens .... à coté du profit d'un tel ouvrage ...??? mais c'est pas grave nous  gagnerons dans 10 000 ans !!!!

Hin-mah-too-lat-kekht chef des Nez-Percés (1840-1904) écrivait au Président des États-Unis, ... en vain , de son temps reculé : "Vous devez vous rappeler et enseigner à vos enfants que les rivières sont nos frères et les vôtres et vous devez montrer aux rivières la bienveillance que vous montreriez à n'importe quel frère. Nous savons que l'homme blanc ne comprend pas notre façon de vivre, pour lui une partie de la terre est la même qu'une autre car il est un étranger qui vient dans la nuit et prend de la terre ce dont il a besoin. La terre n'est pas son frère mais son ennemie, et quand il l'a conquise il poursuit son chemin. Il laisse derrière lui les tombes de ses pères et il ne s'en soucie point. La tombe de ses pères, et le droit inhérent de ses enfants sont oubliés et il ne s'en soucie point. Il traite sa mère la terre et sa mère le ciel comme des objets à acheter, à piller, à vendre, comme des moutons ou des perles de verre brillant. Son appétit dévorera la terre et il ne laissera derrière lui qu'un désert que je ne connais point"