les créas - janvier 2016
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Re: les créas - janvier 2016
Que Marianne était jolie, (1973)
Que Marianne était jolie narre la naissance de la République française via son allégorique Marianne. « Elle est née dans le Paris 1790… », commence la chanson. Or, la Première république a été instituée deux ans plus tard, en septembre 1792. Une licence poétique qui permet à Michel Delpech de trouver une rime avec les « fleurs de lys ». Il signera peu après une version de ce titre… en allemand !
En 2007, il a dédié cette chanson à Ségolène Royal, alors candidate à la présidentielle, qui était venue l’applaudir en concert au Grand Rex.
Elle est née dans le Paris 1790
Comme une rose épanouie
Au jardin des fleurs de lys.
Marianne a cinq enfants
Qu'elle élève de son mieux
Marianne a maintenant
Quelques rides au coin des yeux.
Dieu ! Mais que Marianne était jolie
Quand elle marchait dans les rues de Paris
En chantant à pleine voix :
"Ça ira ça ira... toute la vie."
Dieu ! Mais que Marianne était jolie
Quand elle embrasait le cœur de Paris
En criant dessus les toits :
"Ça ira ! Ça ira ! Toute la vie."
Il n'y a pas si longtemps
Que l'on se battait pour elle
On a connu des printemps
Qui brillaient sous son soleil.
Marianne a cinq enfants,
Quatre fils qu'elle a perdus
Le cinquième à présent
Qu'elle ne reconnaît plus.
Dieu ! Mais que Marianne était jolie
Quand elle marchait dans les rues de Paris
En chantant à pleine voix :
"Ça ira ça ira... toute la vie."
Dieu ! Mais que Marianne était jolie
Quand elle embrasait le coeur de Paris
En criant dessus les toits :
"Ça ira ! Ça ira ! Toute la vie."
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Que Marianne était jolie narre la naissance de la République française via son allégorique Marianne. « Elle est née dans le Paris 1790… », commence la chanson. Or, la Première république a été instituée deux ans plus tard, en septembre 1792. Une licence poétique qui permet à Michel Delpech de trouver une rime avec les « fleurs de lys ». Il signera peu après une version de ce titre… en allemand !
En 2007, il a dédié cette chanson à Ségolène Royal, alors candidate à la présidentielle, qui était venue l’applaudir en concert au Grand Rex.
Elle est née dans le Paris 1790
Comme une rose épanouie
Au jardin des fleurs de lys.
Marianne a cinq enfants
Qu'elle élève de son mieux
Marianne a maintenant
Quelques rides au coin des yeux.
Dieu ! Mais que Marianne était jolie
Quand elle marchait dans les rues de Paris
En chantant à pleine voix :
"Ça ira ça ira... toute la vie."
Dieu ! Mais que Marianne était jolie
Quand elle embrasait le cœur de Paris
En criant dessus les toits :
"Ça ira ! Ça ira ! Toute la vie."
Il n'y a pas si longtemps
Que l'on se battait pour elle
On a connu des printemps
Qui brillaient sous son soleil.
Marianne a cinq enfants,
Quatre fils qu'elle a perdus
Le cinquième à présent
Qu'elle ne reconnaît plus.
Dieu ! Mais que Marianne était jolie
Quand elle marchait dans les rues de Paris
En chantant à pleine voix :
"Ça ira ça ira... toute la vie."
Dieu ! Mais que Marianne était jolie
Quand elle embrasait le coeur de Paris
En criant dessus les toits :
"Ça ira ! Ça ira ! Toute la vie."
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solaire- Admin
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Re: les créas - janvier 2016
elles sont toute belles !
Mimi*- Admin
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Re: les créas - janvier 2016
ma préférée
"Le Chasseur" (1974)
Le refrain est tellement connu que le titre de cette chanson de Michel Delpech, "Le chasseur", l'est moins. C'est pourtant bien une partie de chasse dans la Sologne de son enfance que l'artiste, y décrit de façon contemplative et bucolique, avec sensibilité.
Il évoque ce qui peut faire le charme et l'attrait de la chasse. Le mystère de la migration, la complicité avec le chien,le gibier, la nature, le marais, la forêt, la brume, la contemplation.
Il était cinq heures du matin
On avançait dans les marais
Couverts de brume
J'avais mon fusil dans les mains
Un passereau prenait au loin
De l'altitude
Les chiens pressés marchaient devant
Dans les roseaux
Par dessus l'étang
Soudain j'ai vu
Passer les oies sauvages
Elles s'en allaient
Vers le midi
La Méditerranée
Un vol de perdreaux
Par dessus les champs
Montait dans les nuages
La forêt chantait
Le soleil brillait
Au bout des marécages
Avec mon fusil dans les mains
Au fond de moi je me sentais
Un peu coupable
Alors je suis parti tout seul
J'ai emmené mon épagneul
En promenade
Je regardais
Le bleu du ciel
Et j'étais bien
Par dessus l'étang
Soudain j'ai vu
Passer les oies sauvages
Elles s'en allaient
Vers le midi
La Méditerranée
Et tous ces oiseaux
Qui étaient si bien
Là-haut dans les nuages
J'aurais bien aimé les accompagner
Au bout de leur voyage
Oui tous ces oiseaux
Qui étaient si bien
Là-haut dans les nuages
J'aurais bien aimer les accompagner
Au bout de leur voyage
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J'espère que les oies sauvages l'ont accompagné et guidé ors de son dernier grand voyage.
"Le Chasseur" (1974)
Le refrain est tellement connu que le titre de cette chanson de Michel Delpech, "Le chasseur", l'est moins. C'est pourtant bien une partie de chasse dans la Sologne de son enfance que l'artiste, y décrit de façon contemplative et bucolique, avec sensibilité.
Il évoque ce qui peut faire le charme et l'attrait de la chasse. Le mystère de la migration, la complicité avec le chien,le gibier, la nature, le marais, la forêt, la brume, la contemplation.
Il était cinq heures du matin
On avançait dans les marais
Couverts de brume
J'avais mon fusil dans les mains
Un passereau prenait au loin
De l'altitude
Les chiens pressés marchaient devant
Dans les roseaux
Par dessus l'étang
Soudain j'ai vu
Passer les oies sauvages
Elles s'en allaient
Vers le midi
La Méditerranée
Un vol de perdreaux
Par dessus les champs
Montait dans les nuages
La forêt chantait
Le soleil brillait
Au bout des marécages
Avec mon fusil dans les mains
Au fond de moi je me sentais
Un peu coupable
Alors je suis parti tout seul
J'ai emmené mon épagneul
En promenade
Je regardais
Le bleu du ciel
Et j'étais bien
Par dessus l'étang
Soudain j'ai vu
Passer les oies sauvages
Elles s'en allaient
Vers le midi
La Méditerranée
Et tous ces oiseaux
Qui étaient si bien
Là-haut dans les nuages
J'aurais bien aimé les accompagner
Au bout de leur voyage
Oui tous ces oiseaux
Qui étaient si bien
Là-haut dans les nuages
J'aurais bien aimer les accompagner
Au bout de leur voyage
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J'espère que les oies sauvages l'ont accompagné et guidé ors de son dernier grand voyage.
solaire- Admin
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Mimi*- Admin
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Re: les créas - janvier 2016
"Quand j'étais chanteur" (1975)
Elle a été écrite par Michel Delpech, Jean-Michel Rivat et composée par Roland Vincent.
Dans cette chanson, Michel Delpech parle de lui-même qui aurait 73 ans (soit en 2019) en train d’évoquer quelques souvenirs du temps où il était chanteur en pleine gloire.
Mort le 2 janvier 2016, il n'aura pas atteint cet âge.
La petite histoire de comment a été écrite cette chanson :
"La musique était un morceau de Roland Vincent qu'il avait dans son arrière boutique depuis un certain temps. On s'est jeté dessus parce que c'était un véhicule formidable. C'était une sorte de chose un peu récitative qui permettait de faire des petits chapitres et de développer d'autres idées. C'était marrant de se prendre un peu pour cible car l'uniforme du chanteur, le costume blanc, on était quelques-uns à le porter. Je me souviens on avait trouvé cette idée de mettre la femme du chanteur à la flotte quoi, raconte Michel Delpech. Nous sommes descendus chez le libraire au coin de ma rue et nous avons cherché sur une carte où il y avait des Saint Georges et quels étaient les fleuves près des fameux Saint Georges".
Et voilà comment la femme du chanteur a fini dans l'Indre à St Georges.
J'ai mon rhumatisme
Qui devient gênant.
Ma pauvre Cécile,
J'ai soixante-treize ans.
Je fais de la chaise longue
Et j'ai une baby-sitter.
Je traînais moins la jambe
Quand j'étais chanteur.
J'avais des boots blanches,
Un gros ceinturon,
Une chemise ouverte
Sur un médaillon.
C'était mon sourire
Mon atout majeur.
Je m'éclatais comme une bête
Quand j'étais chanteur.
Un soir à Saint-Georges,
Je faisais la kermesse.
Ma femme attendait,
Planquée, dans la Mercédès.
Elle s'est fait j'ter dans l'Indre
Par tout mon fan-club.
J'avais une vie d'dingue
Quand j'étais chanteur.
Les gens de la police
Me reconnaissaient.
Les excès de vitesse,
Je les payais jamais.
Toutes mes histoires
S'arrangeaient sur l'heure.
On m'pardonnait tous mes écarts
Quand j'étais chanteur.
Ma pauvre Cécile,
J'ai soixante-treize ans.
J'ai appris que Mick Jagger
Est mort dernièrement.
J'ai fêté les adieux de Sylvie Vartan.
Pour moi, il y a longtemps qu'c'est fini.
Je comprends plus grand'chose, aujourd'hui
Mais j'entends quand même des choses que j'aime
Et ça distrait ma vie.
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Elle a été écrite par Michel Delpech, Jean-Michel Rivat et composée par Roland Vincent.
Dans cette chanson, Michel Delpech parle de lui-même qui aurait 73 ans (soit en 2019) en train d’évoquer quelques souvenirs du temps où il était chanteur en pleine gloire.
Mort le 2 janvier 2016, il n'aura pas atteint cet âge.
La petite histoire de comment a été écrite cette chanson :
"La musique était un morceau de Roland Vincent qu'il avait dans son arrière boutique depuis un certain temps. On s'est jeté dessus parce que c'était un véhicule formidable. C'était une sorte de chose un peu récitative qui permettait de faire des petits chapitres et de développer d'autres idées. C'était marrant de se prendre un peu pour cible car l'uniforme du chanteur, le costume blanc, on était quelques-uns à le porter. Je me souviens on avait trouvé cette idée de mettre la femme du chanteur à la flotte quoi, raconte Michel Delpech. Nous sommes descendus chez le libraire au coin de ma rue et nous avons cherché sur une carte où il y avait des Saint Georges et quels étaient les fleuves près des fameux Saint Georges".
Et voilà comment la femme du chanteur a fini dans l'Indre à St Georges.
J'ai mon rhumatisme
Qui devient gênant.
Ma pauvre Cécile,
J'ai soixante-treize ans.
Je fais de la chaise longue
Et j'ai une baby-sitter.
Je traînais moins la jambe
Quand j'étais chanteur.
J'avais des boots blanches,
Un gros ceinturon,
Une chemise ouverte
Sur un médaillon.
C'était mon sourire
Mon atout majeur.
Je m'éclatais comme une bête
Quand j'étais chanteur.
Un soir à Saint-Georges,
Je faisais la kermesse.
Ma femme attendait,
Planquée, dans la Mercédès.
Elle s'est fait j'ter dans l'Indre
Par tout mon fan-club.
J'avais une vie d'dingue
Quand j'étais chanteur.
Les gens de la police
Me reconnaissaient.
Les excès de vitesse,
Je les payais jamais.
Toutes mes histoires
S'arrangeaient sur l'heure.
On m'pardonnait tous mes écarts
Quand j'étais chanteur.
Ma pauvre Cécile,
J'ai soixante-treize ans.
J'ai appris que Mick Jagger
Est mort dernièrement.
J'ai fêté les adieux de Sylvie Vartan.
Pour moi, il y a longtemps qu'c'est fini.
Je comprends plus grand'chose, aujourd'hui
Mais j'entends quand même des choses que j'aime
Et ça distrait ma vie.
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solaire- Admin
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Re: les créas - janvier 2016
sympa ! merci Denis
solaire- Admin
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Re: les créas - janvier 2016
C'est pas donné à tout le monde d'atteindre les 73 ans.... ni même les 74... et moi les 75 cette année
Mimi*- Admin
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Re: les créas - janvier 2016
avant dernière chanson ...
En 1977, il chante Le Loir-et-Cher qui parle des habitants de ce département de manière tendre et ironique.
Dans cette chanson, il évoque ses deux vies.
La vie qu’il a eu gamin, lorsqu’il venait en vacances dans sa famille, à La Ferte-Saint-Cyr, dans le Loir-et-Cher, puis la vie d’artiste qu’il s’est choisi à Paris.
En fait, il évoque ce que de nombreux Français vivent alors. A cette époque, la jeunesse quitte massivement les campagnes pour s’installer en ville. Une attitude que ne comprennent pas forcément leurs parents. C’est la province contre Paris. « Ils me disent, ils me disent : tu vis sans jamais voir un cheval, un hibou ». Quand il est de passage dans sa campagne, « Ces gens-là (qui) ne font pas de manière » lui reproche d’avoir quitté son terroir : « Tu ne penses plus à nous. On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue ».
Bref, ce sont deux générations, deux modes de vie qui s’affrontent. C’est le citadin qui dit « on s’ennuie à la campagne, il n’y a rien à faire » et le campagnard qui lui répond « la ville c’est invivable, il y a trop de monde, trop de bruit et pas d’espace ».
Si aujourd’hui ce débat parait un peu désuet, en 1977 il était au cœur de l’actualité. C’est à cette époque que l’on a pour la première fois pris conscience de la désertification des campagnes.
Ma famille habite dans le Loir-et-Cher,
Ces gens-là ne font pas de manières.
Ils passent tout l'automne à creuser des sillons,
À retourner des hectares de terre.
Je n'ai jamais eu grand chose à leur dire
Mais je les aime depuis toujours.
De temps en temps, je vais les voir.
Je passe le dimanche dans l' Loir-et-Cher.
{Refrain:}
Ils me disent, ils me disent :
"Tu vis sans jamais voir un cheval, un hibou."
Ils me disent :
"Tu viens plus, même pour pêcher un poisson.
Tu ne penses plus à nous.
On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous.
On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous."
Chaque fois que je m'arrête dans le Loir-et-Cher,
Ils ne m' laissent plus partir de chez eux.
Je leur dis qu'il faut que je rentre sur Paris,
Que je ne fais pas toujours ce que j' veux
Et qu'il faut encore que je trouve un poste d'essence,
Que j' n'ai pas le temps de finir ma bière
Et que je reviendrai un de ces dimanches
Passer la nuit dans le Loir-et-Cher.
{Refrain}
"On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous.
On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous."
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En 1977, il chante Le Loir-et-Cher qui parle des habitants de ce département de manière tendre et ironique.
Dans cette chanson, il évoque ses deux vies.
La vie qu’il a eu gamin, lorsqu’il venait en vacances dans sa famille, à La Ferte-Saint-Cyr, dans le Loir-et-Cher, puis la vie d’artiste qu’il s’est choisi à Paris.
En fait, il évoque ce que de nombreux Français vivent alors. A cette époque, la jeunesse quitte massivement les campagnes pour s’installer en ville. Une attitude que ne comprennent pas forcément leurs parents. C’est la province contre Paris. « Ils me disent, ils me disent : tu vis sans jamais voir un cheval, un hibou ». Quand il est de passage dans sa campagne, « Ces gens-là (qui) ne font pas de manière » lui reproche d’avoir quitté son terroir : « Tu ne penses plus à nous. On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue ».
Bref, ce sont deux générations, deux modes de vie qui s’affrontent. C’est le citadin qui dit « on s’ennuie à la campagne, il n’y a rien à faire » et le campagnard qui lui répond « la ville c’est invivable, il y a trop de monde, trop de bruit et pas d’espace ».
Si aujourd’hui ce débat parait un peu désuet, en 1977 il était au cœur de l’actualité. C’est à cette époque que l’on a pour la première fois pris conscience de la désertification des campagnes.
Ma famille habite dans le Loir-et-Cher,
Ces gens-là ne font pas de manières.
Ils passent tout l'automne à creuser des sillons,
À retourner des hectares de terre.
Je n'ai jamais eu grand chose à leur dire
Mais je les aime depuis toujours.
De temps en temps, je vais les voir.
Je passe le dimanche dans l' Loir-et-Cher.
{Refrain:}
Ils me disent, ils me disent :
"Tu vis sans jamais voir un cheval, un hibou."
Ils me disent :
"Tu viens plus, même pour pêcher un poisson.
Tu ne penses plus à nous.
On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous.
On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous."
Chaque fois que je m'arrête dans le Loir-et-Cher,
Ils ne m' laissent plus partir de chez eux.
Je leur dis qu'il faut que je rentre sur Paris,
Que je ne fais pas toujours ce que j' veux
Et qu'il faut encore que je trouve un poste d'essence,
Que j' n'ai pas le temps de finir ma bière
Et que je reviendrai un de ces dimanches
Passer la nuit dans le Loir-et-Cher.
{Refrain}
"On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous.
On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
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solaire- Admin
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Re: les créas - janvier 2016
J'aime beaucoup celle-ci aussi... en fait... ce qui faisait qu'on aimait ses chansons... c'est qu'elles parlaient un peu de chacun d'entre nous...
Mimi*- Admin
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Re: les créas - janvier 2016
et des mélodies .. imparables !
solaire- Admin
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